Qu’est-ce qu’on aurait souhaité faire pour mieux gérer la crise sanitaire en Algérie mais que nous n’avons pas été en mesure de faire ?
Pourquoi nous n’avons pu le faire ?
Qu’est-ce qui nous a empêché de le faire ?
Qu’est-ce qu’on devrait faire aujourd’hui pour que demain, si une situation similaire se reproduit, on pourrait mieux agir pour préserver la santé de nos citoyens et de nos soignants ?
Pourquoi nous ne pouvons tester plus de personnes au Coronavirus ?
Que faut-il faire pour avoir plus de tests ?
Pourquoi nous n’avons qu’un seul Institut Pasteur et uniquement à Alger ?
Que faudrait-il faire pour avoir au moins 5 ou 6 instituts répartis sur l’ensemble du territoire en Algérie ?
Pourquoi nous n’avons pas suffisamment de masques de protection ?
Que devrait-on faire pour en avoir suffisamment dans le futur ?
Ces deux dernières questions sont à poser pour tous les équipements nécessaires de protection et de santé.
Quels sont les médicaments que nous devrions nécessairement produire en Algérie ?
Est-ce que certains établissements ou institutions sont dans l’obligation d’avoir un plan ORSEC ou Plan pour gérer les pandémies ou épidémies sanitaires ?
Si c’est le cas, quelle est la fréquence des mises à jour de ces plans et qu’en est-il de l’organisation de simulations réelles ?
Que prévoit la loi en Algérie sur ces questions ?
Voilà un échantillon non exhaustif de questions qu’il faut se poser aujourd’hui pour tenter par la suite d’apporter des éléments de réponses pertinents.
La démarche d’intelligence économique peut être définie comme étant l’art et la science des questions.
(C) Labdi Abdeldjelil