Intelligence Économique & Gouvernance

Dis-moi qui tu es et dis-moi ce que tu sais faire…

Si tu veux augmenter tes chances d’obtenir un emploi.

Nous restons dans cet article dans le domaine de la recherche d’emploi et nous aborderons cette fois-ci ce qu’il faudrait faire pour mettre toutes les chances de son côté pour décrocher un Job.

Mon conseil

Arrêtez SVP de publier vos CV en suppliant la terre entière de vous octroyer quelques likes ou commentaires pour élargir l’audience de votre publication.

Ce n’est pas la bonne stratégie sur LinkedIn pour trouver un emploi. Ça ne fait qu’alimenter les bases de données des organismes de recrutement ou de recherche de talents et les chances pour qu’ils prennent attache avec vous sont presque nulles.

Investissez donc plutôt vos efforts et attention ailleurs, ce sera plus profitable.

Dites-nous qui vous êtes ?

Quelles sont vos ambitions et attentes ?

Quels sont vos domaines de compétences ?

Qu’est-ce que vous savez faire ?

Ou plutôt, qu’est-ce que vous savez bien faire ?

Quel est votre domaine d’excellence ?

Ce n’est que dans ces conditions que l’on pourra mieux vous connaître et éventuellement vous apprécier.

Lorsque l’on vous appréciera, il sera alors possible de vous contacter pour vous proposer un job, une collaboration ou un partenariat.

Comment arriver à un tel résultat ?

Qu’est-ce qu’il y a lieu de faire pour avoir la chance d’être remarqué par un recruteur ?

La réponse est en fait assez simple : Il faut publier du contenu rédigé par vous-même sur des sujets que vous maîtrisez.

Banal non !

Évitez de partager les publications des autres et choisissez plutôt de diffuser vos propres publications. Ce n’est que comme cela que les recruteurs pourront mieux vous connaître et peut-être vous apprécier.

Vous pouvez également vous faire connaître à travers des commentaires pertinents de publications que vous avez apprécié en donnant votre avis sur le contenu publié.

Mais, attention, votre avis doit être sincère et authentique. Ne mentez pas, ne caressez pas dans le sens du poil. S’il y a bien un endroit ou rien ne se cache et tout se sait, c’est bien les réseaux sociaux. Il est plus facile de cacher des choses dans la vraie vie qu’au sein des réseaux sociaux. Et lorsque l’on découvre que vous n’avez pas été honnête, alors dites adieu à votre crédibilité et réputation.

N’oubliez jamais cela.

Un autre point devra également mériter votre attention. Ne soyez surtout pas négatif dans les contenus que vous diffusez.

Si une publication ne vous plaît pas, passez votre chemin.

Si vous n’êtes pas dans votre état et que vous êtes remonté ou en colère pour quelque raisons que ce soit, alors abstenez-vous de tout commentaire ou publication.

Attendez que la tempête ou l’ouragan passe.

Évitez à tout prix de publier des commentaires négatifs ou toxiques. Personne n’aime cela et on ne vous le dira jamais.

Voilà, vous savez maintenant comment vous faire connaître, alors dites-nous qui vous êtes ?

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Le mouton de l’année 2025

Je viens juste de terminer la lecture d’un article diffusé ce jour par un média électronique d’outre-mer (DNAlgérie en l’occurrence – Dernières Nouvelles d’Algérie basé à Paris) intitulé « Aïd al-Adha 2025 – Achat d’un mouton : Les inscriptions ouvertes pour les employés » et j’en ai la nausée accompagnée d’une forte migraine.

Vraiment le niveau de nos médias électroniques est tombé si bas entraînant une qualité très médiocre des contenus proposés et devenant une insulte à notre intelligence.

L’article fait un peu plus de 4000 caractères (assez long donc entre 600 et 700 mots) produit très probablement à l’aide d’une IA à trois sous ou gratuite, genre ChatGPT. L’article a été passé d’ailleurs au détecteur d’IA et un taux de 53% en a resulté.

Je sais, je sais et je le sais, ces détecteurs d’IA ne sont pas du tout fiables, j’en ai fait l’expérience moi-même, mais tout de même. Consacrer 4000 caractères à un sujet bidon, un navet quoi : Description dans le détail de toute l’opération d’inscription pour « bénéficier » d’un mouton à sacrifier le prochain Aid El Adha.

C’est presque comme s’il s’agissait de l’acquisition d’un logement ou d’un terrain à bâtir ou pour investir. Il aurait peut-être fallu mettre aussi en place une plate-forme numérique consacrée à la bête : Pourquoi pas ? La numérisation est en vogue.

Lorsque j’étais entrain de lire l’article (je suis très curieux et observateur de ces petites pépites que j’arrive à détecter, c’est inné chez-moi et tant mieux pour mon Blog), et sans me rendre compte, j’ai effectué un voyage dans le temps en revenant à nos années 70, glorieuses et socialistes. Je suis revenu au temps de la Révolution Agraire et de la Gestion Socialiste des Entreprises, de très mauvais souvenirs du parti unique, des pénuries et des chaînes interminables.

Je rappelle pour ceux qui l’ignorent que le mouton attendu et évoqué dans cet article fait partie du lot de un million de bêtes que les pouvoirs publics comptent importer à l’occasion du prochain Aid El Adha.

Est-ce que cette dépense est vraiment vitale et nécessaire pour notre pays par ses temps de stress hydrique et de changement climatique ?

Pourquoi DNAlgérie a traité de ce sujet ?

Caresser dans le sens du poil est devenu un sport national qui ne rend pas toujours service à la nation. J’aurais préféré lire un article plus profond, objectif et qui éclaire l’opinion publique.

Quand on a rien à dire, il vaut mieux se taire.

Si vous souhaitez lire l’article de DNAlgérie, cliquez ici ▶️

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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L’aigreur est une maladie mentale

L’aigreur peut être considérée comme une maladie mentale ou une maladie de l’esprit.

C’est ce sentiment amer qui naît d’une déception, d’un ressentiment ou d’une frustration.

L’aigreur se manifeste par une amertume, une tendance à critiquer, jalouser ou dévaloriser ce que l’on n’a pas ou plus.

C’est une blessure intérieure qui s’exprime maladroitement.

Elle s’installe durablement quand les frustrations commencent à s’accumuler, que la reconnaissance se fait rare et que l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle n’est plus de mise.

L’aigreur se manifeste par du cynisme, du sarcasme, une résistance au changement et une vision très négative du quotidien et des personnes.

Pour l’éviter, il faut d’abord identifier les signes :
▪︎ Critiques récurrentes,
▪︎ Difficultés à se réjouir,
▪︎ Et impossibilité à accéder à son propre bonheur.

Quelques pistes pour réduire quelque peu son aigreur :

👉 Développez vos compétences émotionnelles pour mieux vous connaître, gérer vos réactions ainsi que celles des autres.

👉 Pratiquez la gratitude et essayez de trouver de belles choses que vous possédez déjà.

👉 Renforcez votre équilibre entre travail et vie personnelle.

👉 Entourez-vous de personnes bienveillantes.

👉 Investissez dans votre développement personnel via les lectures et les formations.

👉 Introduisez un peu de spiritualité dans votre vie.

Et surtout, n’oubliez pas de rire de tout et tout particulièrement de vous-même.

L’humour est un formidable antidote au stress et à la morosité.

➡️ Un dernier conseil pour la route

Lorsque vous scrollez sur les réseaux sociaux (LinkedIn par exemple ou Facebook) et qu’un article ou Post ne vous plaît pas, il vous est vivement recommandé de passer votre chemin en ne faisant rien.

Évitez surtout de déverser votre poison ou venin sur son auteur, vous ne faites que noircir votre image et rien de plus.

Si vous n’avez rien à dire de positif ou de bienveillant, TAISEZ-VOUS !

Cela arrangera tout le monde, vous compris.

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Qui a dit que les Algériens ne peuvent pas réussir chez eux ?

Réussir et avoir du succès ? Oui c’est possible, cela ne dépend que de vous et de rien d’autre ! Rien n’est impossible et aucun objectif ne se situe en dehors de votre portée.

Il faut avoir en permanence à l’esprit que passer de la mentalité de « À quoi bon ! » à celle de  » Pourquoi pas ? » est la formule du succès.

Si vous êtes entrain de lire cet article, c’est que vous avez à coeur de faire aboutir avec succès vos projets mais vous avez quelques doutes quant à l’issue heureuse de votre démarche. Vous avez une multitude d’indices et de faits qui renforcent cette perception des choses et que je comprends tout à fait.

Vous souhaitez donc connaître la suite des arguments.

Pourquoi cela alors ?

Au fond de vous, vous savez pertinemment qu’il n’est pas normal qu’un Algérien ne puisse réussir dans son propre pays et qu’il doit souvent s’expatrier pour y parvenir. Vous n’êtes pas d’accord avec cette situation et en plus, tout cela n’est pas normal pour vous.

Je vous le confirme et vous avez parfaitement raison !

Pourquoi nous ne réussissons pas dans notre propre pays ?

Qu’est-ce qui cloche en Algérie ?

Nos dirigeants et responsables nous détestent à ce point et veulent empêcher à tout prix notre réussite ?

Nous sommes stupides et incompétents ?

C’est le climat méditerranéen, le stress hydrique, le soleil tapant, notre culture propre, la religion dominante qui sont la cause ?

Ou est-ce la médiocrité ambiante et l’incompétence régnante qui seraient la cause de notre malheur ?

Pourquoi une majorité d’algériens veulent s’expatrier ailleurs, n’importe où et à n’importe quel prix allant jusqu’au péril de leur propre vie ?

Les réponses faciles à ces questions existent mais elles ne peuvent être que des raccourcis qui nous éloignent quelque peu de la vérité vraie, qui elle, est difficile à accepter.

Je voudrais à travers cet article vous convaincre que tout est possible chez nous et qu’il n’y a aucune raison valable et rationnelle qui empêcherait un Algérien ayant un vrai talent de réussir dans son propre pays.

Tout détenteur de talent ou de savoir a la possibilité de s’exprimer et de manifester son excellence à travers ses réalisations pour peu qu’il se dépolue et se mette à l’ouvrage.

Oui, nous sommes atteint d’une pollution généralisée et avancée de nos esprits et c’est cela qui nous fait percevoir à tord beaucoup de choses.

Personne n’est responsable de votre échec et vous êtes la seule personne en cause et responsable de ce qui vous arrive. Vos parents, vos frères, vos soeurs, votre famille, vos amis ne sont pas la cause de vos turpitudes, ils ont essayé de faire de leur mieux pour vous assurer une vie digne et vous assister.

Vous n’avez pas le droit de rendre responsable le Président de la République, son Chef du Gouvernement, le Ministre, le Wali ou le Maire de votre localité dans vos déboires. Vous êtes le seul en cause et responsable de tout ce qui vous arrive.

Qu’avez-vous fait de précis pour avancer dans vos projets ?

Avez-vous tout fait et entrepris pour mettre toutes les chances de votre côté ?

Voilà au moins deux questions pertinentes auxquelles il va falloir répondre. Pas de triche, soyez pour une fois honnête avec vous-même.

Avez-vous tout fait et tout essayé pour tenter d’atteindre vos objectifs. Vous êtes-vous posé la question sur ce qui n’a pas marché ?

C’est quoi le problème et c’est quoi l’obstacle ? 

Attention – Attention et encore Attention à l’auto-sabotage. 

Nous sommes souvent notre premier et principal ennemi et avons tendance à l’oublier. Il est toujours très facile d’accuser les autres quant à nos échecs et cela nous arrange parfaitement comme justification pour tout arrêter : C’est cela notre première et fatale erreure.

L’objectif premier de ce modeste article est de vous démontrer que quel que soit votre situation et même si vous êtes dans un dénuement le plus total, vous devez savoir que vous avez la possibilité de changer les choses et que cela ne dépend que de vous et de personne d’autre.

Je vais essayer de vous prouver que vous avez toutes les chances pour mener à bien un projet qui vous tient à coeur et réaliser enfin vos rêves les plus fous. Tout est entre vos mains et il ne vous reste plus qu’à agir.

Oui agir ! L’action est la première clé du succès et de la réussite. Rien ne peut se réaliser sans action et il faut toujours agir pour matérialiser vos rêves.

Commençons alors par les connaissances de base à bien assimiler.

Nous sommes tous des mortels et nous perdons de vue souvent les conséquences inévitables de notre mortalité. Pourquoi vous inquiéter lorsque l’on sait que nous sommes tous mortels et qu’un jour ou un autre nous passerons de l’autre côté.

Savez-vous que nous ne pouvons emporter avec nous aucun bien matériel ? Ni bel appartement ou villa, ni or, bijoux ou métaux précieux, ni belle voiture et encore moins de yacht ou de JetSki. Rien, que dalle, walou.

Pourquoi s’inquiéter alors du moment que tout le monde y passe ?

Pour les croyants parmi nous et après notre mort, il y aura le jugement dernier : Le bilan de nos actions lorsque nous étions en vie, la comptabilité des bonnes et des mauvaises actions entreprises. Plus vous aurez de bonne actions à votre compte et mieux ce sera pour vous, et le paradis dans l’au delà vous sera offert en guise de récompense.

Dans le cas contraire, ce sera l’enfer qui vous sera réservé.

À ce stade là donc, il serait utile et intéressant pour vous de faire du bien autour de vous et éviter de nuire aux autres durant votre vie. Le paradis dans l’au-delà sera votre récompense avec en prime un deuxième paradis de votre vivant.

Oui. Le paradis et l’enfer sont à notre portée de notre vivant et cela ne dépend que de nous. Semez du bien et vous récolterez du bien plus que vous n’en avez semé. Faites du mal et ce mal vous sera retourné. C’est une Loi naturelle et universelle qu’il faut bien assimiler et intégrer dans votre perception du monde dans lequel vous vivez.

Soyez une mauvaise personne et soyez certain que vous échouerez dans toutes vos entreprises. Vous ne me croyez pas, regardez alors autour de vous. Regardez la vie que mènent les personnes que vous connaissez et tirez les enseignements les plus pertinents.

En conclusion, je vous dirais que si vous souhaitez recevoir de belles choses de cette vie sur terre, commencez d’abord par apprendre à donner aux autres. Chacun d’entre-nous à la possibilité de donner même lorsqu’il est dans le dénuement le plus total.

Combien coûte un sourire ?

Combien coûte une attitude bienveillante vis à vis d’une personne en difficulté ?

Combien coûtent quelques belles paroles ou conseils en direction de personnes en attente d’assistance ?

Un regard bienveillant a-t-il un prix exorbitant ?

Vous voyez, finalement la richesse est en abondance partout chez nous tous, il suffirait juste d’en prendre conscience et d’en user. Tout ce que vous donnerez ne vous rendra jamais pauvre, bien au contraire.

Rien n’est impossible et aucun objectif ne se situe en dehors de votre portée. Il faut toujours àvoir à l’esprit en permanence que passer de la mentalité de « À quoi bon ! » à celle de  » Pourquoi pas ? » est la formule du succès. Restez positif, dépassez les à priori qui vous limitent et jetez-vous à l’eau, tout simplement.

Je vous souhaite beaucoup de réussites et de succès dans votre propre pays, c’est à dire chez vous.

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Est-ce que nous autres Algériens vivons au-dessous de nos moyens ?

Pourquoi une telle question et pourquoi maintenant ?

Sommes nous partisans du slogan bien de chez nous (الزلط و التفرعين) ?

Avons-nous une estimation objective et raisonnable du nombre d’Algériens (résidents en Algérie) qui partent à l’étranger au moins une fois par an ?

Qu’en est-il de ces mêmes chiffres pour nos voisins Marocains et Tunisiens ?

Pourquoi toutes ces questions ?

C’est juste pour répondre à une autre question fatidique :

Méritons-nous une revalorisation de l’allocation touristique qui passera normalement durant l’année 2025 de 100 à 750 Euros ?

Et pourquoi cette fatidique question qui peut faire mal ?

Je constate que ces derniers jours, de multiples « voix » s’élèvent ici et là pour annoncer que la revalorisation de l’allocation touristique coûtera à l’Algérie pas moins de quatre milliards de dollars par an et que cela ne manquera pas d’impacter nos réserves de change.

J’ai même ressenti, peut être à tort, une sensible gêne ou plutôt une légère hésitation des pouvoirs publics quant à l’examen de cette question de l’allocation touristique devenue très sensible.

Analysons maintenant froidement les choses pour savoir de quoi il en est en réalité.

Commençons par un historique des événements :

Les autorités algériennes ont décidé de relever le montant de l’allocation touristique à 750 euros pour les adultes et à 300 euros pour les enfants lors du Conseil des ministres présidé par le président Abdelmadjid Tebboune le 8 décembre 2024. Cette mesure devait initialement entrer en vigueur en janvier 2025 et elle ne l’est pas encore à ce jour.

Remettons les choses à leur place et commençons d’abord par nous interroger d’où vient ce chiffre de quatre milliards de dollars par an.

C’est Mr Réda Ouanani cadre à la BEA qui a avancé (sur les réseaux sociaux) en octobre 2024 ce chiffre se basant sur une hypothèse (fictive et non fondée) que si l’état donnerai 1000 Euros à quatre millions d’Algériens chaque année, cela reviendrai à dépenser quatre milliards d’euros par an.

On est donc ici dans des hypothèses non fondées sur quoi que ce soit de solide : 4 millions d’Algériens sortent chaque année à l’étranger avec 1000 Euros d’allocation touristique.

C’est cette information qui a été reprise et malheureusement déformée par de nombreux médias non professionnels. Les Euros se sont transformés en dollars et on a même attribué cette annonce à une autre personne, Mr Mahfoud Kaoubi Expert Financier alors que ce dernier n’a étalé aucun chiffre lorsqu’il a évoqué cette question avec la Radio Algérienne en février 2025.

(Voir en fin d’article les sources médiatiques à l’origine de cet article)

Récapitulons maintenant les choses.

Ce chiffre de quatre milliards de dollars est donc tout simplement exagéré car basé sur une hypothèse non fondée (4 millions d’Algériens sortent chaque année à l’étranger).

Combien d’Algériens résidents en Algérie sortent chaque année à l’étranger ?

Normalement, seuls les services de police des frontières peuvent avancer des chiffres fiables sur lesquels on peut se baser pour prétendre à quoique ce soit.

Maintenant si la revalorisation de l’allocation touristique engendre une dépense trop importante, je pense qu’il vaut mieux surseoir à cette décision qui va nous ruiner.

Je préfère que ces milliards de dollars soient investis ailleurs : Usines de dessalement, véhicules légers et lourds, logements, chemin de fer, autoroutes, ponts et grands ouvrages d’art, aéroports, ports, etc.

Lorsque nous deviendrons un pays « normal », c’est à dire un pays qui travaille, produit et exporte vers l’étranger, alors là nous pourrons nous permettre de voyager à l’étranger avec nos propres devises.

Est-il concevable pour un jeune Algérien sans emploi ni ressources de voyager à l’étranger ?

Bien sûr, la réponse à cette question ne peut être sans aucun doute que NON. Et si nous le permettons, cela signifie que nous sommes entrain d’encourager les déviations comportementales et morales : Fainéantise, trafics et délits divers.

Je sais, mon avis est tranché et radical, mais n’ayons pas peur de parler vrai car nous portons tous à cœur le rêve de voir notre pays rejoindre le camp des pays développés dans le monde.

Et nous avons les moyens de le devenir : C’est mon intime conviction.

Les sources médiatiques qui sont à l’origine de cet article :

La Radio Algérienne

Algérie Eco

Algeria Invest

D N A

Observalgerie

TSA

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Mon nouveau site : iegouv.news

Mes contacts me reprochent souvent leurs difficultés à me suivre à travers les contenus que je publie du moment que je parle (en apparence) de choses différentes difficiles à concilier.

Il est question bien sûr de l’intelligence économique (et de la gouvernance) avec la qualité de vie et le développement personnel. Des contenus très éloignés (à première vue) mais des contenus qui me semblent plutôt complémentaires.

Peut-on concevoir une intense activité entrepreneuriale tout en ayant une qualité de vie médiocre ?

Peut-on être un excellent manager tout en ayant une vie de famille bordélique, en conflit permanent avec ses proches et sa famille ?

Peut-on aider les autres lorsque l’on arrive pas à s’aider soi-même ?

Peut-on aimer les autres lorsque l’on arrive pas à s’aimer soi-même ?

Pour ma part, j’estime que la dimension humaine de l’homme prime sur tout le reste y compris sur l’intelligence économique et la gouvernance.

Est-ce qu’une démarche d’intelligence économique peut aider à améliorer sa qualité de vie ?

Bien sûr que oui et sans l’ombre d’un doute !

Finalement qu’est-ce qu’une démarche d’intelligence économique ?

C’est tout simplement une méthode de résolution de problèmes, une façon d’aborder les soucis de la vie avec intelligence pour les résoudre et les surmonter.

L’être humain a un cœur et une raison et l’un ne peut travailler sans l’autre : C’est aussi simple que cela.

Nous avons un cerveau gauche (logique et rationalité) et un cerveau droit (imagination, innovation, intuition et créativité) et les deux fonctionnent en toute harmonie.

Peut-on séparer cerveau gauche et cerveau droit ?

Impossible mes amis. Les deux représentent un tout indivisible, uni et solidaire.

C’est tout cela qui explique que dans le nouveau site que je viens de lancer, vous trouverez les deux contenus : Intelligence économique/Gouvernance & Qualité de vie.

Je vous invite à y faire un tour de découverte.

Soyez indulgents SVP, le site est encore en construction et j’espère que vous y retrouverez des contenus qui répondent à vos préoccupations.

Faites-moi part de vos multiples observations, je suis preneur.

Totale gratitude 🙏

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Réussite, succès et monde de l’au-delà

Si vous souhaitez réussir dans votre vie, il faut commencer d’abord par vous connecter au monde de l’au-delà.

Et ce n’est pas un poisson d’avril !

Waouh !

C’est très fort.

Hyper-puissant & Explosif !

Tu ne trouves pas que c’est un peu exagéré ou quelque peu osé ?

Est-il possible de se brancher avec le monde de l’au-delà tout en étant encore en vie ?

Ne serait-il pas plutôt raisonnable d’attendre que notre fin arrive pour rejoindre le monde de l’au-delà ?

Deux questions essentielles qu’il est légitime de se poser à la lecture de la première phrase d’entrée de cet article.

Explications…

Vous devez d’abord et en premier reconnaitre une vérité essentielle si vous êtes une  personne croyante quelque soit le Dieu que vous invoquez.

Nous avons tous été créés à l’image de notre créateur et donc détenteurs à notre naissance d’une partie divine diversement nommée : Âme – Esprit – Intuition – 6ème sens – Subconscient – Inconscient – Guidance intérieure – Etc.

Et le terme importe peu d’ailleurs.

C’est en effet cette partie de nous qui nous relie à notre créateur et à l’univers tout entier. Et c’est par cette partie que nous avons la possibilité d’accéder à la connaissance divine ou à la connaissance universelle immense et infinie.

N’oublions pas que nous ne sommes pas qu’un corps physique quoique constitué de manière très complexe et ingénieuse, la création étant synonyme de perfection. Nous disposons également d’une autre partie non-physique, non-visible nommée âme, esprit, partie divine, intuition, subconscient, inconscient, la terminologie important peu.

Les recherches en neurosciences, neuroimages et psychologie avancent que l’inconscient représente une part très importante de notre activité mentale. Certains chercheurs ont émis le ratio 95/05 entre inconscient et conscient. C’est à dire que 95% de nos processus cognitifs se dérouleraient de manière inconsciente, laissant seulement 5% à notre conscient. Ces chiffres illustrent l’importance majeur de l’inconscient par rapport au conscient, bien que ces affirmations ne sont pas universellement acceptées et demeurent sujettes à débat. D’autres scientifiques avancent quant à eux les ratios de 90/10 ou alors 80/20, la précision important peu.

Ce qu’il est essentiel à retenir dans tout cela est que nous ne sommes malheureusement conscient que d’une infime partie de notre pouvoir réel et ce à l’image d’un iceberg dont 80% de sa masse glaciaire serait immergée sous l’eau et donc non visible.

Nous avons, par ailleurs, cinq sens physiques bien connus de tous (vision, ouïe, odorat, toucher et goût) et il existerait un sixième sens non physique et invisible mais qui représente 80% au moins de notre potentiel. Donc, lorsque nous ignorons ce sixième sens, il faut admettre que nous ne fonctionnons pas en pleine capacité de nos moyens.

En conclusion, je vous dirais que si vraiment vous souhaitez réussir et obtenir du succès dans votre vie, vous devez fonctionner au maximum de vos capacités. Autrement dit, il faut ajouter les 80% de votre 6ème sens aux 20% déjà existants.

La question qui découle immédiatement suite à cette conclusion serait de savoir comment accéder à notre partie non-physique et invisible, autrement dit comment s’offrir les services de notre 6ème sens ou comment utiliser notre système de guidance intérieure afin d’accéder à la réussite et au succès dans notre vie ?

La suite sera diffusée dans mes prochains articles…

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Demandez et vous obtiendrez !

L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui est une histoire que j’ai vécu à Béchar. Je ne me souviens pas exactement de la date mais cela s’est déroulé au cours de l’année 2001, période où j’exerçais dans cette localité de notre magnifique Sud Ouest. Je n’arrive également pas à me rappeler le mois précis du déroulement des évènements que je vais vous conter. Une seule chose est sûre, cet événement m’a marqué à vie et c’est la raison pour laquelle je le partage aujourd’hui avec vous.

Par une fin de journée très ordinaire, en fin d’après-midi, j’étais dans un état psychique délabré, le moral à plat ou à zéro, comme on a l’habitude de dire, accompagné d’une vision très sombre du monde qui m’entourait. Les raisons à l’origine de cet état d’esprit étaient très vagues et floues, rien de précis ni de concret. Ce qui était certain, c’est que l’influence à la fois du déroulement de ma vie professionnelle ou même de celle de ma vie personnelle, je n’étais sûr de rien en réalité, devaient être pour quelque chose dans ce qui m’arrivait.

Essayant de sortir de cette impasse psychologique, j’appelle un de mes collègues et lui demande de venir avec sa voiture pour qu’on puisse faire un petit tour, histoire d’échapper à ma condition présente. Je ne lui ai pas demandé d’aller à un endroit particulier ou précis, mais lorsque l’on est à Béchar, le choix est vite fait car les destinations possibles et imaginables étaient bien restreintes et toutes désignées : Taghit – Kenadsa – Barrage Djorf Torba – Lahmar – Boukais – Sfisifa ou encore si on voulait aller un peu plus loin Beni Abbes ou Igli.

Il faut reconnaître que nous avions quand même un large choix et c’est le temps disponible qui déterminait toujours la destination qui sera sélectionnée. Je dois reconnaître également que mon séjour durant six années à Béchar a été le meilleur moment de toute ma carrière professionnelle.

Essentiellement deux raisons : Un excellent climat sec et des gens formidables. Bien sûr, dès la fin de la scolarité, il faut envoyer vos enfants au nord du pays pour leur éviter de subir la chaleur excessive qui commence dès fois très tôt. En effet, dès la fin du mois d’avril ou le début de mai, la température commence à grimper. Le meilleur moment au Sud est bien sûr l’automne. Il ne fait ni assez froid ni très chaud et cela va du mois d’octobre à début décembre. Si vous souhaitez faire une virée au Sud, l’automne est le meilleur moment pour le faire.

Revenons maintenant à notre très mauvaise fin de journée. Finalement, mon collègue est arrivé une demi-heure plus tard après mon appel. Je descends de mon immeuble pour le rejoindre et je pris place dans sa voiture. Il me demande tout de suite ce qui se passe et quel est la raison de cet appel en urgence. Je le tranquilise tout de suite lui annonçant qu’il n’y avait rien de grave et que je voulais juste faire un petit tour, histoire de m’aérer en quelque sorte. Il me demande si j’ai une destination particulière qui emportait mon adhésion et je lui laisse la liberté  de choisir un lieu de sa préférence.

Il réfléchit un moment, prend son téléphone et appelle une de ses relations lui demandant de nous attendre et que nous arriverons dans moins d’une demi-heure. Mon collègue, et ami en même temps, a opté pour Kenadsa, une localité voisine se trouvant à une vingtaine de kilomètres de Béchar. Ce n’est que par la suite que j’ai su que la personne que mon ami a appelé était tout simplement le responsable de la Zaouia de Kenadsa. La Zaouia de Kenadsa est le lieu inévitable à visiter dans cette localité et que durant mon séjour à Béchar, je n’y avait pas encore mis les pieds.

Mon ami a senti que je n’étais pas bien et qu’une visite à la Zaouia de Kenadsa ne pouvait que me faire du bien. J’ai donné donc mon accord pour l’option Zaouia de Kenadsa, et ce sera une chose que je ne regretterai jamais. Je vous précise que les Zaouia et moi ça fait trente-six mille et non trente-six. Je n’ai jamais mis les pieds dans une Zaouia par le passé et je ne savais même pas à quoi cela pouvait être utile de les visiter. C’est vrai, je suis un musulman pratiquant qui fait régulièrement ses prières et c’est tout. Un croyant très simple, humble et modeste.

Arrivés sur les lieux, le responsable de la Zaouia était à l’entrée entrain de nous attendre. La Zaouia était vide car ce n’était pas le moment des visites. Après la prière d’El Asr, la Zaouia ne reçoit personne et c’est ce que j’ai su par la suite. Donc, notre visite était juste une exception faite par respect à mon ami.

Je me laisse donc guider par le responsable de la Zaouia et avons entamé une visite complète et générale. J’écoutais attentivement tous les détails fournis par notre hôte sur l’histoire de la Zaouia de Sidi Ahmed Ben Bouziane. J’ai eu droit à tous les détails sans exception aucune. Tout y passait, les anecdotes et les faits historiques. Nous avons eu même le privilège de visiter le tombeau ou Dharih de Sidi Ahmed Ben Bouziane, le créateur de cette Zaouia.

Je vous rappelle qu’au moment de notre arrivée à Kenadsa, mon moral était à plat, à zéro, tout était sombre et noir pour moi. J’étais presque dans un état de détresse et de dépression absolue. Arrivé au niveau du tombeau ou Dharih de Sidi Ahmed Ben Bouziane, une idée m’est venue à l’esprit comme cela, subitement, de manière naturelle, automatique et je ne sais d’où : Je voulais et souhaitais faire une prière, une nafila, juste devant le tombeau de Sidi Ahmed Ben Bouziane. Notre hôte me précise que la prière d’El Asr étant passée, une Nafila ne serait pas appropriée mais qu’il m’autorisait à le faire.

J’ai commencé donc à faire mes ablutions et entamé deux longues prières devant le Dharih de Cheikh Ahmed Ben Bouziane. À la fin de chaque prière, j’ai imploré silencieusement notre Créateur et mis à sa connaissance toutes mes préoccupations tout en lui demandant une aide d’urgence. Tous les problèmes que je vivais en ce moment là ont été portés à la connaissance du Bon Dieu pour prise en charge. Je me suis débarrassé de tout ce que j’avais sur le coeur, je me suis completement vidé. Je me suis dit que ce n’était plus mes problèmes, qu’ils ont été mis à la disposition de notre Créateur pour résolution et que ce ne sera plus mes oignons dans l’avenir. Les deux prières terminées, je me lève et je constate, surpris, stupéfait et tout à fait bluffé qu’un autre homme venait de naître.

Incroyable, inimaginable, impossible à croire et pourtant vrai. Je suis venu tout en noir immaculé et me voilà reparti en blanc comme neige. Tous mes soucis du moment ont disparu comme par miracle et enchantement. Mon état d’esprit a changé miraculeusement, je suis devenu un autre homme, plus serein et plus optimiste à ce qui va m’advenir dans le futur. Un autre homme nouveau venait de naître. C’est incroyable ce que peuvent faire deux simples prières. Je me suis lavé de toutes les souillures que je portais dans mon esprit. Plus de noirceur, je revivais de nouveau avec espoir. Je n’en reviens pas de ce qu’une simple prière peut faire dans la vie d’un homme. Un homme est venu à Kenadsa ce jour là, mais c’est un nouvel homme bien différent, transformé en mieux qui en est reparti. Je n’oublierai jamais cet événement extraordinaire qui s’est déroulé dans ma vie.

Depuis ce magnifique événement qui m’a transformé, ma vie a changé, en mieux bien sûr. À travers l’acte de prière que j’ai fait, je venais juste de commencer, sans prendre véritablement conscience, à introduire un peu de spiritualité dans ma vie. Avec, ces deux prières, j’ai confié à notre créateur tous les problèmes que je ne pouvais résoudre et qui m’échappaient. C’est à ce moment là que ma vie a pris une nouvelle tournure.

Dans la vie, il y a des problèmes que nous pouvons résoudre car ils sont sous notre contrôle direct et il y a ceux qui nous échappent et sur lesquels on ne peut rien faire ni agir. Confiez tous les problèmes qui vous échappent à votre Créateur et débarrassez vous-en et le plutôt serait le mieux pour vous éviter de sombrer dans la mélancolie et la dépression. Ne gardez que les problèmes qui sont sous votre contrôle direct et sur lesquels vous pouvez agir. Ne vous encombrez pas de problèmes insolubles qui vous pourriront inutilement la vie et confiez-les plutôt au Maître de l’Univers, il saura quoi en faire. C’était la leçon que j’ai tiré de cette merveilleuse expérience.

Suite à cet événement heureux qui s’est produit dans ma vie, la première des décisions que j’ai prise est que dorénavant, j’accomplirai mes prières du vendredi à la Zaouia de Kenadsa chaque Week-end au lieu de les faire à Béchar. Kenadsa est à moins de vingt kilomètres et cela ne me dérangerait nullement pour m’y rendre une fois par semaine.

Et c’est ce que j’ai fait durant tout le reste de mon séjour à Béchar jusqu’à mon départ en juillet 2006. Je garderais toujours un excellent souvenir de cette merveilleuse ville qui a donné un nouveau souffle à ma vie. Je vous raconterai plus tard mon premier contact avec Taghit la magique. C’était mon premier contact avec le désert, ses dunes et son extraordinaire silence rédempteur. Patientez, ce sera lors d’un deuxième texte.

Revenons à notre Béchar et ce qui a suivi ma visite à la Zaouia de Kenadsa. Quelques jours après, j’ai pris une nouvelle décision qui sera salutaire pour ma vie future et que j’applique encore à nos jours, presque vingt ans plus tard. La deuxième décision que j’ai prise sera encore plus révolutionnaire et d’une efficacité immense pour celui qui souhaite vivre une vie sereine, stable et heureuse. Cette deuxième décision est également en rapport avec les prières mais cette fois-ci, ce sera une prière très spéciale et particulière. Je vous explique cela en détail.

J’ai décidé qu’à partir de cette date et chaque matin où je me réveillerai, je consacrerai une prière tous les jours en plus des prières du matin, Fajr et Sobh inclus. Ce sera ma communication quotidienne avec notre Créateur, le Maître de l’Univers. Ce sera ma communication personnelle adressée chaque jour au Maître de notre existence.

Que sera le contenu de cette prière ?

Mettre à la disposition du Seigneur tous les problèmes que je n’arrive pas à résoudre. Allez Hop, tous les soucis sont envoyés au Bon Dieu et on en parle plus. Ce n’est plus mes problèmes et ils sont bien là où ils sont. Ils seeont résolus dans l’avenir ou ils ne le seront pas, je m’en fiche royalement et ce n’est plus mon problème. J’ai fait ce qu’il fallait faire et tout est parfait comme cela. Alors, croyez moi ou pas, tous les problèmes soumis à l’Entité Supérieure sont généralement résolus quelques jours après sinon un peu plus tard. Rares sont les soucis qui n’ont pas vu un début de solution.

Donc, cette prière quotidienne et matinale avait pour objet des demandes de résolutions de problèmes adressées au Patron des Patrons. Une question alors : Quand je n’avais aucun problème à soumettre au Bon Dieu, qu’est-ce que je faisais ? Simple. La prière sera tout simplement une prière de remerciement adressée au Seigneur de l’Univers. Je remercie notre Seigneur pour toutes les merveilleuses choses qui nous arrivent chaque jour tout en lui demandant de continuer de nous enrichir de ses bienfaits chaque jour qu’il fera, demain plus qu’aujourd’hui.

Et cela marche à merveille. Je ne changerai cela pour rien au monde. Qu’est-ce que cela vous coûte de faire une petite prière un peu spéciale chaque matin ? Rien. Cela ne vous coûtera rien du tout et vous en tirerez de substantiels bénéfices. Croyez-moi, je vous l’assure. Essayez et vous verrez, vous n’avez rien à perdre. Moi, je le fais depuis une vingtaine d’années et inchallah, je ne l’arrêterais jamais de le faire. Une forme de contact personnalisé, permanent, direct et quotidien avec notre Maître.

Que pouvons-nous espérer de mieux !

(C) 2020 Labdi Abdeldjelil

25/07/2020

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Immersion au fin fond de soi-même

Il y a une année, j’ai rédigé un article sur les bienfaits de la prière intitulé « Demandez et vous obtiendrez ». L’histoire que vous avez peut-être lue (Et si ce n’est pas encore le cas, cliquez ici ▶️ pour le faire) est authentique et s’est déroulée comme je l’ai décrite. J’ai diffusé ce retour d’expérience pour encourager les gens à s’appuyer sur les prières lorsque cela ne va pas du tout pour eux.

J’ai reçu depuis de nombreuses réactions de mes lecteurs et lectrices toutes aussi chaleureuses qu’émouvantes et qu’ils en soient remerciés. Certains d’entre-eux m’ont fait part de leurs difficultés à mettre en pratique ce que je préconisai. Ils faisaient régulièrement leurs prières mais n’arrivaient toujours pas à faire cette grande prière qui leur permettrai de sortir de leur détresse et angoisse. Cet article vient aujourd’hui combler cette lacune en mettent en avant ce que j’estime être important pour réussir ses prières.

Le secret de ces prières réside avant toute chose dans leur spontanéité, sincérité et où la foi et les croyances jouent un rôle primordial. La demande faite lors d’une prière doit également provenir du plus profond de soi-même. La sincérité est nécessaire, cela est sûr, mais elle n’est peut-être pas suffisante. La demande lors d’une prière doit venir du plus profond de votre coeur et c’est ce que vous désirez le plus au fond de vous-même au moment où vous lancez votre requête.

Je crois également qu’il faut bien sélectionner les moments et les raisons pour lesquelles vous faites une prière. Généralement nous faisons une prière pour espérer et souhaiter de notre Super Puissance une solution à un problème que nous n’arrivons pas à résoudre.

Ce sont généralement des problèmes qui sont identifiés comme étant incontrôlables et pour lesquels on ne peut rien faire, où tout nous échappe. C’est dans ce genre de situations que nos prières seront les plus souhaitées afin de nous permettre de nous libérer du stress intenable et envahissant qui nous assiège de manière durable.

Spontanéité, sincérité, authenticité, transparence, honnêteté, croyance et foi sont les termes qu’il faut retenir dans toute prière.

Je terminerai cet article en vous rappelant que selon Stephen R. Covey dans son livre « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent », les problèmes que nous rencontrons dans notre vie relèvent de l’une des trois catégories :

– Problèmes directement contrôlables,

– Problèmes indirectement contrôlables,

– Problèmes incontrôlables.

Les problèmes directement contrôlables peuvent se résoudre si nous travaillons sur nos habitudes.

Les problèmes indirectement contrôlables peuvent se résoudre si nous travaillons à élargir notre réseau de relations grâce au déploiement pertinent de notre influence.

Pour les problèmes incontrôlables, nous n’avons aucun choix. Il nous faut sourire à la vie, accepter véritablement nos soucis et apprendre à vivre avec. Seules les prières et incantations seront dans ce cas possibles.

(C) 2021 Labdi Abdeldjelil

03/08/2021

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Mes croyances et ma foi

Quels sont les secrets ou les facteurs clés de succès qui vous permettront de réussir dans la vie et vivre un bonheur parfait et intense ?

D’emblée, je dois être honnête avec vous et j’avoue ne pas connaître la réponse exacte à cette question oh combien cruciale. Je pourrais par contre vous délivrer mon expérience de vie et vous partager ma démarche sur le comment j’ai essayé de m’en sortir durant mes soixantaines d’années.

Le contenu que je délivre aujourd’hui à travers cet article ne relève pas du domaine des sciences exactes mais plutôt du domaine de la Foi et de l’intime conviction. Aucun argumentaire ne sera donc développé pour étayer mes thèses et tenter de vous convaincre. Expérimentez plutôt vous-même les choses et voyez par vous-même les resultats obtenus.

Après la Foi et l’intime conviction, je pense que l’attitude vis à vis du monde qui nous entoure et des événements qui surviennent dans notre vie, l’intention qui nous anime du fin fond de nos tripes ainsi que l’attention que nous voudrions bien accorder à des domaines d’intérêt seront le triptyque de la réussite et du succès.

Commençons donc par la Foi principale qui anime toute ma vie. Je crois en Dieu, bien sûr, il n’y a aucun doute là-dessus et c’est ma première grande croyance. Il faudrait bien qu’il y ai quelque chose d’hyperpuissant et d’extraordinaire pour faire tourner cet immense univers. Je suis, pour être précis, musulman né dans un pays musulman au sein d’une famille musulmane très fervente et pratiquante. Je précise toutefois que j’ai beaucoup de respect pour toutes les autres religions du monde y compris le judaïsme, le bouddhisme et bien d’autres pratiques humaines.

Je respecte également les personnes qui ne croient pas en l’existence de Dieu et considère cela comme une question strictement personnelle et privée. Je considère néanmoins que l’athéisme est une croyance, d’un genre tout à fait particulier, je le conçoit, mais une croyance tout de même.

Nous autres croyants, sommes dans une situation très avantageuse en terme de vision. Nous sommes tranquilles et avons la paix dans notre fort intérieur et ce grâce à la magie de notre Foi. Nous ne nous inquiétons pas toujours pour notre avenir. Notre destinée est toute tracée et savons parfaitement ce qu’il va advenir de nous. Ce n’est pas toujours le cas pour les personnes non croyantes.

Pour réussir dans la vie, il est nécessaire d’être d’abord et avant tout une bonne personne à mon sens. Les mauvaises personnes ou les personnes toxiques sont condamnées à échouer avec brio et c’est mon intime conviction. Faites donc du bien autour de vous, donnez, donnez et donnez sans compter et sans rien attendre de personne. Faire du bien aux autres, donner aux autres c’est d’abord et avant tout faire du bien à soi-même. Lorsque vous comprendrez cela et lorsque vous le ressentirez profondément dans votre fort intérieur, sachez que vous êtes alors sauvé et votre vie s’illuminera. C’est mon cas et je vous avoue que j’adore faire du bien et aider autour de moi, une merveilleuse et sublime sensation.

À l’opposé, il ne faut jamais perdre de vue que tout mal que vous ferez vous sera toujours rendu en double ou en triple, faites donc attention  et ne faites pas de mal autour de vous. Lorsqu’une personne vous aborde pour vous demander de lui rendre un service qui est dans vos cordes, faites du mieux que vous pouvez, vous ne le regretterez jamais. À un moment donné, vous rencontrerez à votre tour une personne qui vous assistera et vous délivrera d’une situation difficile que vous êtes entrain de vivre. Tenez vos promesses, ne mentez pas et ne donnez jamais de fausses illusions à des personnes qui vous sollicitent. Vous pouvez aider, c’est tant mieux et parfait. Dans le cas contraire, ne promettez rien.

Comment je vis mes relations avec les autres ?

Généralement, je fais toujours confiance aux personnes que je rencontre pour la première fois et j’ai toujours des préjugés favorables à leur égard au début de notre relation. J’évite toujours de juger les gens et nous avons souvent mieux à faire.

Ce qui m’importe le plus chez ces personnes, ce sont les actes entrepris tous les jours dans le cadre de notre relation. Le compteur des bonnes et des mauvaises actions est alors mis en route et c’est lui qui déterminera et tranchera sur le futur de notre relation.

J’ai été à de multiples reprises induit en erreur, trompé, blessé, abusé, trahi, abandonné, néanmoins cela ne me touche jamais outre mesure : Une mauvaise personne de perdue et une multitude de bonnes personnes restent à découvrir. Cela a toujours été ma principale devise dans le cadre de mes relations avec les autres. J’estime que c’est un gain notable que de se débarrasser de mauvaises personnes, pourquoi donc s’en inquiéter.

Voilà donc quelques pistes que vous pouvez expérimenter pour rendre votre vie la plus simple et agréable à vivre. Je vous remercie d’être allé jusqu’au bout de la lecture de cet article.

(C) 2021 Labdi Abdeldjelil

09/09/2021

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