Intelligence Économique & Gouvernance

Vous avez oublié une adresse mail ?

Les hackers, eux, s’en souviennent.

On crée une adresse mail pour un forum, une commande, une appli… et on l’oublie. Des années passent, et pendant ce temps-là, elle reste active, sans surveillance, vulnérable. Elle devient alors une porte d’entrée grande ouverte sur vos données personnelles.

Ce genre d’oubli n’est pas anodin et une vieille adresse abandonnée peut être piratée sans que vous ne le sachiez. Et si elle est liée à un ancien compte (Facebook, PayPal, Linkedin ou autre), c’est un accès direct à vos informations, voire à votre identité. Pire encore, si cette adresse est connectée à des services bancaires ou professionnels, les conséquences peuvent être désastreuses.

La cybersécurité ne commence pas avec des firewalls complexes, elle commence avec un geste simple : Faire le tri dans ses adresses mail, les recenser, les vérifier, les supprimer si elles ne servent plus. Activer la double authentification. Mettre à jour les mots de passe.

Vous ne laisseriez pas les clés de votre maison sous le paillasson, alors ne faites pas pareil avec vos comptes mail.

Ce n’est pas une question de paranoïa, c’est une question de bon sens. Un peu de veille aujourd’hui peut éviter bien des galères demain.

Alors prenez 15 minutes, faites la liste de toutes vos adresses. Connectez-vous, vérifiez les connexions récentes, fermez ce qui ne sert plus et mettez à jour ce qui reste.

Parce que si vous ne le faites pas aujourd’hui, quelqu’un d’autre le fera pour vous et ce n’est jamais dans votre intérêt.

(C) Labdi Abdeldjelil

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Algérie – France : Il est temps de couper le cordon ombilical

L’Algérie ne peut plus avancer en restant prisonnière d’une relation toxique avec la France. Chaque crise diplomatique révèle une dépendance entretenue, un héritage pesant qui freine son développement.

Pour protéger ses intérêts stratégiques, l’Algérie devra tourner la page pour affirmer pleinement sa souveraineté et ses ambitions.

Cela passera inévitablement par une amélioration de sa gouvernance, une diversification économique réelle, un développement technologique ainsi qu’une remise en question de ses alliances internationales.

Le monde a changé et il est temps de se mettre à jour.

La France n’est plus un partenaire fiable, et d’autres puissances peuvent offrir des opportunités plus respectueuses de nos ambitions.

Se libérer de cette influence ne signifie pas rompre brutalement, mais cessons de tenter de ménager le choux et la chèvre.

L’Algérie devra necessairement convaincre pour  imposer ses conditions, défendre ses ressources pour bâtir un avenir sans concessions.

L’heure n’est plus à l’attente, mais à l’action.

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Savoir avant d’agir

La veille, un GPS stratégique de l’entreprise algérienne.

Un chef d’entreprise raisonnable ne peut s’autoriser à naviguer à vue par les temps qui courent. Ceux qui le font avancent sans visibilité et s’exposent aux écueils imprévisibles du marché. Par contre, ceux qui prennent le temps de regarder au-delà de l’horizon, gagnent en revanche un avantage décisif.

Dans un monde saturé d’informations, l’instinct ne suffit plus. Ce qu’il faut, c’est un système rodé. Un dispositif qui capte les signaux faibles, filtre le bruit et éclaire la décision : C’est ce que nous appelons un système de veille.

Mettre en place une veille stratégique, ce n’est pas une option. C’est une nécessité pour protéger son activité, anticiper les risques, détecter les opportunités… et surtout, garder un coup d’avance. Dans le contexte algérien, cela devient un levier vital pour asseoir une croissance durable et souveraine.

Mais soyons clairs, un bon système de veille ne repose pas uniquement sur la technologie. Il repose d’abord sur des femmes et des hommes capables de discerner l’essentiel dans le flux et le brouillard. Des profils lucides, intègres, alignés sur une vision à long terme. Pas des exécutants, mais des stratèges silencieux, ceux qui savent écouter ce que le marché ne dit pas encore tout haut.

Implanter la veille dans votre entreprise, c’est semer des capteurs à tous les étages. C’est cultiver une vigilance collective. C’est faire émerger cette intelligence partagée qui transforme l’information en décision juste.

Il ne s’agit pas de se méfier de tout, mais de ne plus rien laisser au hasard. Et c’est précisément cette discipline qui, appliquée avec rigueur, deviendra votre meilleure protection et votre meilleur tremplin.

Alors, pendant que d’autres s’interrogent, vous, vous commencez à voir, avant les autres, mieux que les autres.

La veille, ce n’est pas un coût, c’est une assurance, une respiration stratégique, un réflexe d’avenir.

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse !

Il arrive un moment où l’on se débat, seul au milieu de la tempête. Où chaque effort semble vain, chaque vague plus forte que la précédente. Et pourtant… c’est souvent dans ces instants-là qu’un simple geste peut tout changer : Tendre la main.

Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse. C’est un acte de lucidité. C’est reconnaître que, pour avancer, il faut parfois s’appuyer. Et dans ce geste humble se cache une force immense, celle de l’élan vers le mieux, vers le clair après le chaos.

Le plus surprenant, c’est ce qui se passe ensuite. Quand l’accalmie s’installe, que les pensées s’éclaircissent, que la brume intérieure se dissipe. On commence à percevoir une direction. Pas encore un chemin tracé, mais une possibilité. Un cap. Et un pas après l’autre, on avance.

Ce processus n’est pas linéaire. Il demande du courage, de la présence à soi, et parfois… un regard extérieur bienveillant. Un mot, une écoute, une lecture qui fait écho. Ces petites lumières jalonnent la traversée et réveillent nos ressources intérieures, qu’elles soient intellectuelles, émotionnelles ou spirituelles.

Et puis un jour, sans bruit, un glissement subtil se produit, ce n’est plus nous qui tendons la main, mais nous qui l’offrons.

Car l’expérience transforme. Elle affine l’intelligence relationnelle, élargit la perception, reconnecte à l’essentiel. Elle fait naître en nous cette envie profonde d’être là, à notre tour, pour ceux qui affrontent leurs tempêtes.

Alors, à vous qui lisez ces lignes, rappelez-vous : Il n’y a aucune honte à demander. Il y a, au contraire, une vraie grandeur à le faire. Et un pouvoir silencieux dans ce mouvement d’humain à humain, celui de se relever ensemble.

Et si aujourd’hui, tendre la main était votre premier pas vers une vie plus alignée ?

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Dis-moi qui tu es et dis-moi ce que tu sais faire…

Si tu veux augmenter tes chances d’obtenir un emploi.

Nous restons dans cet article dans le domaine de la recherche d’emploi et nous aborderons cette fois-ci ce qu’il faudrait faire pour mettre toutes les chances de son côté pour décrocher un Job.

Mon conseil

Arrêtez SVP de publier vos CV en suppliant la terre entière de vous octroyer quelques likes ou commentaires pour élargir l’audience de votre publication.

Ce n’est pas la bonne stratégie sur LinkedIn pour trouver un emploi. Ça ne fait qu’alimenter les bases de données des organismes de recrutement ou de recherche de talents et les chances pour qu’ils prennent attache avec vous sont presque nulles.

Investissez donc plutôt vos efforts et attention ailleurs, ce sera plus profitable.

Dites-nous qui vous êtes ?

Quelles sont vos ambitions et attentes ?

Quels sont vos domaines de compétences ?

Qu’est-ce que vous savez faire ?

Ou plutôt, qu’est-ce que vous savez bien faire ?

Quel est votre domaine d’excellence ?

Ce n’est que dans ces conditions que l’on pourra mieux vous connaître et éventuellement vous apprécier.

Lorsque l’on vous appréciera, il sera alors possible de vous contacter pour vous proposer un job, une collaboration ou un partenariat.

Comment arriver à un tel résultat ?

Qu’est-ce qu’il y a lieu de faire pour avoir la chance d’être remarqué par un recruteur ?

La réponse est en fait assez simple : Il faut publier du contenu rédigé par vous-même sur des sujets que vous maîtrisez.

Banal non !

Évitez de partager les publications des autres et choisissez plutôt de diffuser vos propres publications. Ce n’est que comme cela que les recruteurs pourront mieux vous connaître et peut-être vous apprécier.

Vous pouvez également vous faire connaître à travers des commentaires pertinents de publications que vous avez apprécié en donnant votre avis sur le contenu publié.

Mais, attention, votre avis doit être sincère et authentique. Ne mentez pas, ne caressez pas dans le sens du poil. S’il y a bien un endroit ou rien ne se cache et tout se sait, c’est bien les réseaux sociaux. Il est plus facile de cacher des choses dans la vraie vie qu’au sein des réseaux sociaux. Et lorsque l’on découvre que vous n’avez pas été honnête, alors dites adieu à votre crédibilité et réputation.

N’oubliez jamais cela.

Un autre point devra également mériter votre attention. Ne soyez surtout pas négatif dans les contenus que vous diffusez.

Si une publication ne vous plaît pas, passez votre chemin.

Si vous n’êtes pas dans votre état et que vous êtes remonté ou en colère pour quelque raisons que ce soit, alors abstenez-vous de tout commentaire ou publication.

Attendez que la tempête ou l’ouragan passe.

Évitez à tout prix de publier des commentaires négatifs ou toxiques. Personne n’aime cela et on ne vous le dira jamais.

Voilà, vous savez maintenant comment vous faire connaître, alors dites-nous qui vous êtes ?

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Le mouton de l’année 2025

Je viens juste de terminer la lecture d’un article diffusé ce jour par un média électronique d’outre-mer (DNAlgérie en l’occurrence – Dernières Nouvelles d’Algérie basé à Paris) intitulé « Aïd al-Adha 2025 – Achat d’un mouton : Les inscriptions ouvertes pour les employés » et j’en ai la nausée accompagnée d’une forte migraine.

Vraiment le niveau de nos médias électroniques est tombé si bas entraînant une qualité très médiocre des contenus proposés et devenant une insulte à notre intelligence.

L’article fait un peu plus de 4000 caractères (assez long donc entre 600 et 700 mots) produit très probablement à l’aide d’une IA à trois sous ou gratuite, genre ChatGPT. L’article a été passé d’ailleurs au détecteur d’IA et un taux de 53% en a resulté.

Je sais, je sais et je le sais, ces détecteurs d’IA ne sont pas du tout fiables, j’en ai fait l’expérience moi-même, mais tout de même. Consacrer 4000 caractères à un sujet bidon, un navet quoi : Description dans le détail de toute l’opération d’inscription pour « bénéficier » d’un mouton à sacrifier le prochain Aid El Adha.

C’est presque comme s’il s’agissait de l’acquisition d’un logement ou d’un terrain à bâtir ou pour investir. Il aurait peut-être fallu mettre aussi en place une plate-forme numérique consacrée à la bête : Pourquoi pas ? La numérisation est en vogue.

Lorsque j’étais entrain de lire l’article (je suis très curieux et observateur de ces petites pépites que j’arrive à détecter, c’est inné chez-moi et tant mieux pour mon Blog), et sans me rendre compte, j’ai effectué un voyage dans le temps en revenant à nos années 70, glorieuses et socialistes. Je suis revenu au temps de la Révolution Agraire et de la Gestion Socialiste des Entreprises, de très mauvais souvenirs du parti unique, des pénuries et des chaînes interminables.

Je rappelle pour ceux qui l’ignorent que le mouton attendu et évoqué dans cet article fait partie du lot de un million de bêtes que les pouvoirs publics comptent importer à l’occasion du prochain Aid El Adha.

Est-ce que cette dépense est vraiment vitale et nécessaire pour notre pays par ses temps de stress hydrique et de changement climatique ?

Pourquoi DNAlgérie a traité de ce sujet ?

Caresser dans le sens du poil est devenu un sport national qui ne rend pas toujours service à la nation. J’aurais préféré lire un article plus profond, objectif et qui éclaire l’opinion publique.

Quand on a rien à dire, il vaut mieux se taire.

Si vous souhaitez lire l’article de DNAlgérie, cliquez ici ▶️

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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L’aigreur est une maladie mentale

L’aigreur peut être considérée comme une maladie mentale ou une maladie de l’esprit.

C’est ce sentiment amer qui naît d’une déception, d’un ressentiment ou d’une frustration.

L’aigreur se manifeste par une amertume, une tendance à critiquer, jalouser ou dévaloriser ce que l’on n’a pas ou plus.

C’est une blessure intérieure qui s’exprime maladroitement.

Elle s’installe durablement quand les frustrations commencent à s’accumuler, que la reconnaissance se fait rare et que l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle n’est plus de mise.

L’aigreur se manifeste par du cynisme, du sarcasme, une résistance au changement et une vision très négative du quotidien et des personnes.

Pour l’éviter, il faut d’abord identifier les signes :
▪︎ Critiques récurrentes,
▪︎ Difficultés à se réjouir,
▪︎ Et impossibilité à accéder à son propre bonheur.

Quelques pistes pour réduire quelque peu son aigreur :

👉 Développez vos compétences émotionnelles pour mieux vous connaître, gérer vos réactions ainsi que celles des autres.

👉 Pratiquez la gratitude et essayez de trouver de belles choses que vous possédez déjà.

👉 Renforcez votre équilibre entre travail et vie personnelle.

👉 Entourez-vous de personnes bienveillantes.

👉 Investissez dans votre développement personnel via les lectures et les formations.

👉 Introduisez un peu de spiritualité dans votre vie.

Et surtout, n’oubliez pas de rire de tout et tout particulièrement de vous-même.

L’humour est un formidable antidote au stress et à la morosité.

➡️ Un dernier conseil pour la route

Lorsque vous scrollez sur les réseaux sociaux (LinkedIn par exemple ou Facebook) et qu’un article ou Post ne vous plaît pas, il vous est vivement recommandé de passer votre chemin en ne faisant rien.

Évitez surtout de déverser votre poison ou venin sur son auteur, vous ne faites que noircir votre image et rien de plus.

Si vous n’avez rien à dire de positif ou de bienveillant, TAISEZ-VOUS !

Cela arrangera tout le monde, vous compris.

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Qui a dit que les Algériens ne peuvent pas réussir chez eux ?

Réussir et avoir du succès ? Oui c’est possible, cela ne dépend que de vous et de rien d’autre ! Rien n’est impossible et aucun objectif ne se situe en dehors de votre portée.

Il faut avoir en permanence à l’esprit que passer de la mentalité de « À quoi bon ! » à celle de  » Pourquoi pas ? » est la formule du succès.

Si vous êtes entrain de lire cet article, c’est que vous avez à coeur de faire aboutir avec succès vos projets mais vous avez quelques doutes quant à l’issue heureuse de votre démarche. Vous avez une multitude d’indices et de faits qui renforcent cette perception des choses et que je comprends tout à fait.

Vous souhaitez donc connaître la suite des arguments.

Pourquoi cela alors ?

Au fond de vous, vous savez pertinemment qu’il n’est pas normal qu’un Algérien ne puisse réussir dans son propre pays et qu’il doit souvent s’expatrier pour y parvenir. Vous n’êtes pas d’accord avec cette situation et en plus, tout cela n’est pas normal pour vous.

Je vous le confirme et vous avez parfaitement raison !

Pourquoi nous ne réussissons pas dans notre propre pays ?

Qu’est-ce qui cloche en Algérie ?

Nos dirigeants et responsables nous détestent à ce point et veulent empêcher à tout prix notre réussite ?

Nous sommes stupides et incompétents ?

C’est le climat méditerranéen, le stress hydrique, le soleil tapant, notre culture propre, la religion dominante qui sont la cause ?

Ou est-ce la médiocrité ambiante et l’incompétence régnante qui seraient la cause de notre malheur ?

Pourquoi une majorité d’algériens veulent s’expatrier ailleurs, n’importe où et à n’importe quel prix allant jusqu’au péril de leur propre vie ?

Les réponses faciles à ces questions existent mais elles ne peuvent être que des raccourcis qui nous éloignent quelque peu de la vérité vraie, qui elle, est difficile à accepter.

Je voudrais à travers cet article vous convaincre que tout est possible chez nous et qu’il n’y a aucune raison valable et rationnelle qui empêcherait un Algérien ayant un vrai talent de réussir dans son propre pays.

Tout détenteur de talent ou de savoir a la possibilité de s’exprimer et de manifester son excellence à travers ses réalisations pour peu qu’il se dépolue et se mette à l’ouvrage.

Oui, nous sommes atteint d’une pollution généralisée et avancée de nos esprits et c’est cela qui nous fait percevoir à tord beaucoup de choses.

Personne n’est responsable de votre échec et vous êtes la seule personne en cause et responsable de ce qui vous arrive. Vos parents, vos frères, vos soeurs, votre famille, vos amis ne sont pas la cause de vos turpitudes, ils ont essayé de faire de leur mieux pour vous assurer une vie digne et vous assister.

Vous n’avez pas le droit de rendre responsable le Président de la République, son Chef du Gouvernement, le Ministre, le Wali ou le Maire de votre localité dans vos déboires. Vous êtes le seul en cause et responsable de tout ce qui vous arrive.

Qu’avez-vous fait de précis pour avancer dans vos projets ?

Avez-vous tout fait et entrepris pour mettre toutes les chances de votre côté ?

Voilà au moins deux questions pertinentes auxquelles il va falloir répondre. Pas de triche, soyez pour une fois honnête avec vous-même.

Avez-vous tout fait et tout essayé pour tenter d’atteindre vos objectifs. Vous êtes-vous posé la question sur ce qui n’a pas marché ?

C’est quoi le problème et c’est quoi l’obstacle ? 

Attention – Attention et encore Attention à l’auto-sabotage. 

Nous sommes souvent notre premier et principal ennemi et avons tendance à l’oublier. Il est toujours très facile d’accuser les autres quant à nos échecs et cela nous arrange parfaitement comme justification pour tout arrêter : C’est cela notre première et fatale erreure.

L’objectif premier de ce modeste article est de vous démontrer que quel que soit votre situation et même si vous êtes dans un dénuement le plus total, vous devez savoir que vous avez la possibilité de changer les choses et que cela ne dépend que de vous et de personne d’autre.

Je vais essayer de vous prouver que vous avez toutes les chances pour mener à bien un projet qui vous tient à coeur et réaliser enfin vos rêves les plus fous. Tout est entre vos mains et il ne vous reste plus qu’à agir.

Oui agir ! L’action est la première clé du succès et de la réussite. Rien ne peut se réaliser sans action et il faut toujours agir pour matérialiser vos rêves.

Commençons alors par les connaissances de base à bien assimiler.

Nous sommes tous des mortels et nous perdons de vue souvent les conséquences inévitables de notre mortalité. Pourquoi vous inquiéter lorsque l’on sait que nous sommes tous mortels et qu’un jour ou un autre nous passerons de l’autre côté.

Savez-vous que nous ne pouvons emporter avec nous aucun bien matériel ? Ni bel appartement ou villa, ni or, bijoux ou métaux précieux, ni belle voiture et encore moins de yacht ou de JetSki. Rien, que dalle, walou.

Pourquoi s’inquiéter alors du moment que tout le monde y passe ?

Pour les croyants parmi nous et après notre mort, il y aura le jugement dernier : Le bilan de nos actions lorsque nous étions en vie, la comptabilité des bonnes et des mauvaises actions entreprises. Plus vous aurez de bonne actions à votre compte et mieux ce sera pour vous, et le paradis dans l’au delà vous sera offert en guise de récompense.

Dans le cas contraire, ce sera l’enfer qui vous sera réservé.

À ce stade là donc, il serait utile et intéressant pour vous de faire du bien autour de vous et éviter de nuire aux autres durant votre vie. Le paradis dans l’au-delà sera votre récompense avec en prime un deuxième paradis de votre vivant.

Oui. Le paradis et l’enfer sont à notre portée de notre vivant et cela ne dépend que de nous. Semez du bien et vous récolterez du bien plus que vous n’en avez semé. Faites du mal et ce mal vous sera retourné. C’est une Loi naturelle et universelle qu’il faut bien assimiler et intégrer dans votre perception du monde dans lequel vous vivez.

Soyez une mauvaise personne et soyez certain que vous échouerez dans toutes vos entreprises. Vous ne me croyez pas, regardez alors autour de vous. Regardez la vie que mènent les personnes que vous connaissez et tirez les enseignements les plus pertinents.

En conclusion, je vous dirais que si vous souhaitez recevoir de belles choses de cette vie sur terre, commencez d’abord par apprendre à donner aux autres. Chacun d’entre-nous à la possibilité de donner même lorsqu’il est dans le dénuement le plus total.

Combien coûte un sourire ?

Combien coûte une attitude bienveillante vis à vis d’une personne en difficulté ?

Combien coûtent quelques belles paroles ou conseils en direction de personnes en attente d’assistance ?

Un regard bienveillant a-t-il un prix exorbitant ?

Vous voyez, finalement la richesse est en abondance partout chez nous tous, il suffirait juste d’en prendre conscience et d’en user. Tout ce que vous donnerez ne vous rendra jamais pauvre, bien au contraire.

Rien n’est impossible et aucun objectif ne se situe en dehors de votre portée. Il faut toujours àvoir à l’esprit en permanence que passer de la mentalité de « À quoi bon ! » à celle de  » Pourquoi pas ? » est la formule du succès. Restez positif, dépassez les à priori qui vous limitent et jetez-vous à l’eau, tout simplement.

Je vous souhaite beaucoup de réussites et de succès dans votre propre pays, c’est à dire chez vous.

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Est-ce que nous autres Algériens vivons au-dessous de nos moyens ?

Pourquoi une telle question et pourquoi maintenant ?

Sommes nous partisans du slogan bien de chez nous (الزلط و التفرعين) ?

Avons-nous une estimation objective et raisonnable du nombre d’Algériens (résidents en Algérie) qui partent à l’étranger au moins une fois par an ?

Qu’en est-il de ces mêmes chiffres pour nos voisins Marocains et Tunisiens ?

Pourquoi toutes ces questions ?

C’est juste pour répondre à une autre question fatidique :

Méritons-nous une revalorisation de l’allocation touristique qui passera normalement durant l’année 2025 de 100 à 750 Euros ?

Et pourquoi cette fatidique question qui peut faire mal ?

Je constate que ces derniers jours, de multiples « voix » s’élèvent ici et là pour annoncer que la revalorisation de l’allocation touristique coûtera à l’Algérie pas moins de quatre milliards de dollars par an et que cela ne manquera pas d’impacter nos réserves de change.

J’ai même ressenti, peut être à tort, une sensible gêne ou plutôt une légère hésitation des pouvoirs publics quant à l’examen de cette question de l’allocation touristique devenue très sensible.

Analysons maintenant froidement les choses pour savoir de quoi il en est en réalité.

Commençons par un historique des événements :

Les autorités algériennes ont décidé de relever le montant de l’allocation touristique à 750 euros pour les adultes et à 300 euros pour les enfants lors du Conseil des ministres présidé par le président Abdelmadjid Tebboune le 8 décembre 2024. Cette mesure devait initialement entrer en vigueur en janvier 2025 et elle ne l’est pas encore à ce jour.

Remettons les choses à leur place et commençons d’abord par nous interroger d’où vient ce chiffre de quatre milliards de dollars par an.

C’est Mr Réda Ouanani cadre à la BEA qui a avancé (sur les réseaux sociaux) en octobre 2024 ce chiffre se basant sur une hypothèse (fictive et non fondée) que si l’état donnerai 1000 Euros à quatre millions d’Algériens chaque année, cela reviendrai à dépenser quatre milliards d’euros par an.

On est donc ici dans des hypothèses non fondées sur quoi que ce soit de solide : 4 millions d’Algériens sortent chaque année à l’étranger avec 1000 Euros d’allocation touristique.

C’est cette information qui a été reprise et malheureusement déformée par de nombreux médias non professionnels. Les Euros se sont transformés en dollars et on a même attribué cette annonce à une autre personne, Mr Mahfoud Kaoubi Expert Financier alors que ce dernier n’a étalé aucun chiffre lorsqu’il a évoqué cette question avec la Radio Algérienne en février 2025.

(Voir en fin d’article les sources médiatiques à l’origine de cet article)

Récapitulons maintenant les choses.

Ce chiffre de quatre milliards de dollars est donc tout simplement exagéré car basé sur une hypothèse non fondée (4 millions d’Algériens sortent chaque année à l’étranger).

Combien d’Algériens résidents en Algérie sortent chaque année à l’étranger ?

Normalement, seuls les services de police des frontières peuvent avancer des chiffres fiables sur lesquels on peut se baser pour prétendre à quoique ce soit.

Maintenant si la revalorisation de l’allocation touristique engendre une dépense trop importante, je pense qu’il vaut mieux surseoir à cette décision qui va nous ruiner.

Je préfère que ces milliards de dollars soient investis ailleurs : Usines de dessalement, véhicules légers et lourds, logements, chemin de fer, autoroutes, ponts et grands ouvrages d’art, aéroports, ports, etc.

Lorsque nous deviendrons un pays « normal », c’est à dire un pays qui travaille, produit et exporte vers l’étranger, alors là nous pourrons nous permettre de voyager à l’étranger avec nos propres devises.

Est-il concevable pour un jeune Algérien sans emploi ni ressources de voyager à l’étranger ?

Bien sûr, la réponse à cette question ne peut être sans aucun doute que NON. Et si nous le permettons, cela signifie que nous sommes entrain d’encourager les déviations comportementales et morales : Fainéantise, trafics et délits divers.

Je sais, mon avis est tranché et radical, mais n’ayons pas peur de parler vrai car nous portons tous à cœur le rêve de voir notre pays rejoindre le camp des pays développés dans le monde.

Et nous avons les moyens de le devenir : C’est mon intime conviction.

Les sources médiatiques qui sont à l’origine de cet article :

La Radio Algérienne

Algérie Eco

Algeria Invest

D N A

Observalgerie

TSA

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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Mon nouveau site : iegouv.news

Mes contacts me reprochent souvent leurs difficultés à me suivre à travers les contenus que je publie du moment que je parle (en apparence) de choses différentes difficiles à concilier.

Il est question bien sûr de l’intelligence économique (et de la gouvernance) avec la qualité de vie et le développement personnel. Des contenus très éloignés (à première vue) mais des contenus qui me semblent plutôt complémentaires.

Peut-on concevoir une intense activité entrepreneuriale tout en ayant une qualité de vie médiocre ?

Peut-on être un excellent manager tout en ayant une vie de famille bordélique, en conflit permanent avec ses proches et sa famille ?

Peut-on aider les autres lorsque l’on arrive pas à s’aider soi-même ?

Peut-on aimer les autres lorsque l’on arrive pas à s’aimer soi-même ?

Pour ma part, j’estime que la dimension humaine de l’homme prime sur tout le reste y compris sur l’intelligence économique et la gouvernance.

Est-ce qu’une démarche d’intelligence économique peut aider à améliorer sa qualité de vie ?

Bien sûr que oui et sans l’ombre d’un doute !

Finalement qu’est-ce qu’une démarche d’intelligence économique ?

C’est tout simplement une méthode de résolution de problèmes, une façon d’aborder les soucis de la vie avec intelligence pour les résoudre et les surmonter.

L’être humain a un cœur et une raison et l’un ne peut travailler sans l’autre : C’est aussi simple que cela.

Nous avons un cerveau gauche (logique et rationalité) et un cerveau droit (imagination, innovation, intuition et créativité) et les deux fonctionnent en toute harmonie.

Peut-on séparer cerveau gauche et cerveau droit ?

Impossible mes amis. Les deux représentent un tout indivisible, uni et solidaire.

C’est tout cela qui explique que dans le nouveau site que je viens de lancer, vous trouverez les deux contenus : Intelligence économique/Gouvernance & Qualité de vie.

Je vous invite à y faire un tour de découverte.

Soyez indulgents SVP, le site est encore en construction et j’espère que vous y retrouverez des contenus qui répondent à vos préoccupations.

Faites-moi part de vos multiples observations, je suis preneur.

Totale gratitude 🙏

(C) 2025 Labdi Abdeldjelil

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